XXVI L’escalier de madame Sparsit Les nerfs de Mme Sparsit mettant beaucoup de mauvaise volonté à recouvrer le ton qu’ils avaient perdu, cette digne femme fit un séjour de quelques semaines à la villa Bounderby, où, nonobstant la tournure cénobitique de son esprit (basée sur un sentiment des convenances dans sa position déchue), elle se résigna à être logée et nourrie comme une princesse. Tant que durèrent ces vacances, la gardienne de la banque resta fidèle à son rôle, continuant de plaindre M. Bounderby à son nez et à sa barbe, avec une si tendre pitié qu’il y a bien peu d’hommes qui puissent se flatter d’en inspirer une pareille, continuant aussi d’appeler le portrait de ce même objet de ses tendresses « Imbécile ! » à son nez et à sa barbe, avec beaucoup d’amertume et de mépris. Le