II. – Geoffrey Delamayn à Anne Sylvestre.

680 Worte

II. – Geoffrey Delamayn à Anne Sylvestre. « Chère Anne, » Appelé à l’instant à Londres, près de mon père. Mauvaises nouvelles reçues par le télégraphe. Restez où vous êtes, je vous écrirai. Fiez-vous au porteur de ce mot. Sur mon âme je tiendrai ma promesse. » Votre mari qui vous aime, » GEOFFREY DELAMAYN. » Windygates, 14 août, 4 heures après-midi. Pas un instant à moi. Le train part à 4 h 30. Sir Patrick lut la correspondance, avec une extrême attention, jusqu’à la fin. Aux dernières lignes de la seconde lettre, il fit ce qu’il n’avait pas fait depuis vingt ans. Il se mit sur pieds d’un bond et il traversa la pièce, sans le secours de sa canne à pomme d’ivoire. Anne tressaillit et détourna son regard de la rue pour le reporter sur lui, muette de surprise. Il était sous l’influ

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