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XII La vieille Le pauvre Étienne descendit les marches blanches, fermant derrière lui la porte noire ornée d’une plaque de cuivre au moyen du bouton de même métal, auquel il fit ses adieux en le frottant avec la manche de son habit, lorsqu’il eut remarqué que la chaleur de sa main en avait terni l’éclat. Il traversa la rue, les yeux fixés à terre, et il s’éloignait ainsi tout tristement, lorsqu’il sentit une main se poser sur son épaule. Ce n’était pas la main qui lui eût été le plus nécessaire dans un pareil moment, la main qui avait le pouvoir de calmer le trouble orageux de son âme, comme celle d’un Dieu de sublime amour et de sublime patience avait eu, en s’étandant, le pouvoir d’apaiser la mer irritée. Mais néanmoins c’était une main de femme qui l’arrêtait. Ce fut sur une vieille