_ C’est fou comme ta peau est douce.
Vincenzo caressait le bras de Lucia qui était lovée contre sa poitrine.
Elle tentait de redescendre doucement des nouvelles hauteurs qu’elle avait découvert aujourd’hui encore et qui l’avait exténué.
Plongée dans une douce langueur, elle avait levé ses longs cils vers lui, avant de lui sourire lascivement.
L’homme se demandait s’il n’avait pas été trop loin une fois encore.
Le corps de sa femme n’était pas rodé aux ébats fougueux, et il devait en tenir compte s’il ne voulait pas la blesser.
Enfin c’était ce qu’il se disait à chaque fois, mais une partie sombre de lui-même prenait littéralement le dessus quand son désir devenait plus impérieux.
Il caressa sa joue et poussa ses boucles afin de dégager totalement son visage.
_ Tu devrais dormi
