ADAM
Le lendemain commença de la pire des façons. Premièrement, lorsque je me suis éveillé au son de l'alarme de mon téléphone, j'ai découvert qu'Alarah n'était pas dans la chambre. Avant de vraiment entrer en mode traque, je me suis donnée la peine d'aller vérifier dans la salle de bain. Elle n'y était pas. J'ai regarder partout autour de son lit, autour de mon lit et même sous les lits en pensant peut-être trouver une note qu'elle m'aurait laissé pour me dire où elle avait l'intention de se rendre. Je n'ai pas eu le choix de me rendre à l'évidence, qu'une fois encore, je l'avais perdu. Je commence à me dire que je fais un pitoyable gardien si je réussis à perdre la personne sous ma garde trois fois en moins de vingt-quatre heures.
J'enfile mes vêtements de la veille à la
