– Et même trois ! répondit M. Romaine. » Puis, allant de nouveau vers la porte : « M. Burchell Fenn, voudriez-vous avoir l’obligeance de monter jusqu’ici ! » Cette fois, c’était bien fini : mon cousin Alain s’était effondré. Je préfère ne pas arrêter mon souvenir sur le pitoyable spectacle qu’il nous offrit lorsque, tout souriant et la tête haute, Fenn, ce prestigieux gredin, entra dans la chambre, avec tout l’air d’un homme qui aurait eu à s’acquitter d’un devoir public. M. Romaine lui-même eut pitié de mon malheureux cousin, et s’employa pour empêcher Burchell Fenn de trop s’appesantir sur les détails de leurs communes trahisons ; mais Burchell Fenn mit à y insister une énergie implacable, nous révélant en outre toutes sortes d’escroqueries, purement privées, qu’il n’avait commises, d
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