Chapitre 121 : Parle-lui. _ C’est vraiment ce que tu veux ? Demanda Gisèle à Anisha. Dalia n’est pas un fardeau dont tu dois te libérer au plus vite, il s’agit de ta jeune sœur. _ Il me semble avoir été claire, rétorqua la princesse sans se tourner vers elle, tandis qu’elle faisait mine d’observer le ciel, les mains posées sur la rambarde de la terrasse. J’exige qu’elle s’en aille sur le champ. _ Ani, j’ai vraiment du mal à te suivre. En quoi le fait qu’elle reste là, te dérange ? Je veux dire… tu seras bientôt conduite ailleurs, alors ce n’est pas comme si elle allait être avec toi à longueur de journée. Les mots de Gisèle qui insinuaient qu’elle se débarrassait de sa sœur, comme l’on se débarrasse d’un animal devenu trop encombrant, lui glaçait le cœur, mais elle se retint de montre