Le lendemain matin, ma femme et moi partîmes pour Londres, confiant Marian aux soins de Mrs Rubelle qui consentit à s’emprisonner avec elle pendant quelques jours. Je remis à Percival la lettre de Mr Fairlie pour lady Glyde (dans laquelle il lui demandait donc de loger chez sa tante avant de repartir pour Limmeridge) et lui dis de la montrer à sa femme dès qu’il recevrait de mes nouvelles à ce sujet. De son côté, il me donna l’adresse de l’asile où Anne Catherick avait été internée, et une lettre pour le directeur, l’informant que la jeune fille devait à nouveau être soignée. Je rappelle ici que, lors de mon précédent voyage à Londres, j’avais veillé à ce que notre maison fût prête pour recevoir Anne Catherick dès que nous-mêmes y serions arrivés. Le mercredi 24 juillet 1850, j’envoyai ma