VII Jusque-là, les informations que m’avait fournies mistress Clements, – bien qu’elles établissent des faits tout nouveaux pour moi, – n’avaient cependant qu’une valeur préliminaire. Il était clair que l’enchaînement des déceptions qui d’abord avaient ramené Anne Catherick à Londres, pour la séparer ensuite de mistress Cléments, était l’œuvre unique du comte Fosco et de la comtesse ; et la question de savoir si, dans la conduite du mari ou de la femme, il y avait de quoi faire peser sur l’un ou sur l’autre une responsabilité légale quelconque, pouvait devenir ultérieurement un grave sujet d’examen. Mais le but que je me proposais maintenant portait mes efforts dans une autre direction. L’objet immédiat de ma visite à mistress Clements était de frayer au moins quelques voies à la découve