Au-dessous de cette note, une ligne avait été ajoutée, d’une autre écriture ; elle disait : « Comprenant du 1er janvier 1800 au 30 juin 1815. » J’allai jusqu’au mois de septembre 1803. J’y trouvai le mariage de l’homme dont le nom de baptême était le même que le mien. J’y trouvai la double mention du mariage des deux frères ; – et entre ces deux enregistrements, au bas de la page ?… Rien ! pas le moindre vestige de l’acte qui, dans le registre de paroisse, attestait le mariage de sir Félix Glyde et de Cécilia-Jane Elster. Mon cœur bondit dans ma poitrine, et battit à m’étouffer. Je regardai une seconde fois, – je craignais de m’en rapporter trop vite au témoignage de mes yeux… Mais, non… Plus de doute ! Le mariage n’était pas inscrit. Les enregistrements occupaient, sur les pages de la