– Je me la rappelle. – En ce cas, pourquoi vous étonnez-vous qu’elle vous ait laissée ici ? Vous désirez retourner à Limmeridge ; elle y est allée pour vous obtenir l’agrément de votre oncle, aux conditions qu’il voudra stipuler… Les yeux de la pauvre lady Glyde se remplirent de larmes. – Marian, dit-elle, jamais ne m’a quittée sans me faire ses adieux. – Elle vous les aurait faits de même cette fois-ci, reprit sir Percival, si elle n’avait eu peur et d’elle et de vous. Elle savait que vous tenteriez de la retenir ; elle savait que vous l’affligeriez par vos larmes. Avez-vous encore d’autres objections à me faire ? S’il en est ainsi, vous n’avez qu’à descendre, et vous me questionnerez dans la salle à manger… Tous ces tracas me bouleversent. Il me faut un verre de vin… Là-dessus, tout