Note (En cet endroit, le paragraphe du « Journal » cesse d’être lisible. Les deux ou trois lignes qui suivent ne renferment plus que des fragments de mots, mêlés à des taches d’encre et à des traits de plume désordonnés. Les dernières marques laissées sur le papier ont une vague ressemblance avec les deux premières lettres du nom de lady Glyde, – un L et un A. À la page suivante du « Journal » figure un autre paragraphe. Il est écrit d’une main d’homme, en gros caractères hardiment jetés et d’une régularité parfaite ; la date qu’il porte est le « 21 juin ». En voici le contenu) : « Post-scriptum d’un ami sincère. La maladie de notre excellente miss Halcombe m’a procuré un plaisir intellectuel sur lequel je ne comptais pas. Je veux parler de celui que j’ai eu à parcourir (je l’achève à