CHAPITRE VII Comme on l’a vu par la correspondance qui précède, il ne me restait qu’à passer sur la mort de lady Verinder, en me bornant au simple énoncé du fait qui termine mon cinquième chapitre. Obligée de me renfermer pour l’avenir dans les limites de mon expérience personnelle, je dirai qu’un mois s’écoula après la mort de ma tante avant que je revisse Rachel ; notre entrevue fut l’occasion pour moi de passer quelques jours sous le même toit qu’elle. Pendant mon séjour auprès de ma cousine, son engagement matrimonial vis-à-vis de M. Godfrey Ablewhite donna lieu à un incident assez important pour que j’en prenne note ici. Ce sera le dernier des pénibles événements de famille, dont ma plume a entrepris le récit. Quand je l’aurai fait connaître, ma tâche sera achevée et j’aurai relaté