Vincenzo regardait Giuliani d’un air inquiet.
_ Je ne saisis pas ?
_ Comme tu le sais je me fais vieux et ma santé n’est plus ce qu’elle était, expliqua le patriarche.
_ Qu’est-ce que tu racontes ton dernier bilan était très bon.
_ Ce n’est que l’avis de quelques machines dénudées de sensibilité, rétorqua l’homme en plissant le front, je suis quand même le mieux placé pour savoir comment va mon corps.
_ Pourquoi j’ai déjà peur de la suite ?
_ Mes chers enfants, dit-il en regardant Lucia et Vincenzo, Mon plus grand souhait, avant de quitter ce monde, serait de pouvoir embrasser les enfants de mon petit-fils…
Vincenzo ouvrit des yeux effarés et Lucia manqua de s’étouffer.
Fabian qui était assis à côté d’elle, lui tapota le dos tout en s’extasiant devant cette idée :
_ Ça serait me
