La Casa Di Brancato faisait des merveilles en termes de pâtisseries, Lucia s’en souvenait vaguement.
Les odeurs de sucre caramélisé, de chocolat et d’épices embaumaient dès l’entrée.
Tous les sens s’éveillaient un à un, si bien que quand on s’asseyait pour déguster l’une de ces douceurs, on était prêt pour un voyage hors du temps.
_ Tu connaissais ? demanda Fabian en voyant que la jeune femme se dirigeait directement vers le fond de la pasticceria.
_ De vagues souvenirs. Puis une fois qu’ils furent assis et servi, alors que voulais-tu me dire ?
L’homme la fit languir un peu mais en voyant son air suppliant, il céda.
_ Très bien, très bien. Voilà, quand tu es partie pour Paris, grand-père m’a donné quelques dessins et portraits que tu avais fait de lui. Avec son aval, je les ai mon
