Résolue à son sort, la jeune femme longeait le promenoir suivit de Vincenzo. Une fois la première émotion négative passée et ses larmes essuyées, Lucia se sentit bien moins angoissée. A son grand dam, c’était même le contraire qui se produisait. Peut-être était-ce dû à leur étroite proximité dans ce cloître à la végétation fleurie et odorante ? Ou simplement dût au fait qu’ils ne se trouvaient plus qu’à quelques pas de la chambre ? Mais Lucia sentit une chaleur mordante l’envahir peu à peu. Des images ainsi que des sensations de la veille lui revinrent en tête, la troublant comme jamais. Elle piqua un fard si v*****t, qu’il était impossible que Vincenzo ne s’en soit pas rendue compte. « Du calme, se tempera-t-elle en passant ses mains froides sur ses joues enflammées. Tu vas fi