À cet égard, il n’avait pas à se plaindre. d**k s’était constitué son garde-malade de tous les instants. Il n’eût cédé sa place à personne pour aider Sand à sortir du lit et à gagner le fauteuil sur lequel celui-ci passait ses longues journées. Il restait ensuite près du blessé, attentif à ses moindres désirs, faisant montre d’une patience inaltérable, dont on n’eût pas cru capable le bouillant petit garçon de jadis. Le Kaw-djer assistait à ce touchant manège. Pendant la maladie des deux enfants, il avait eu tout le loisir de les observer, et il s’était également attaché à eux. Mais d**k, outre l’affection paternelle qu’il lui portait, l’intéressait en même temps. Jour par jour, il avait pu reconnaître quelle âme droite, quelle exquise sensibilité et quelle vive intelligence possédait ce