XXXII - Dans lequel Phileas Fogg engage une lutte directe contre la mauvaise chance

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XXXII Dans lequel Phileas Fogg engage une lutte directe contre la mauvaise chance En partant, le China semblait avoir emporté avec lui le dernier espoir de Phileas Fogg. En effet, aucun des autres paquebots qui font le service direct entre l’Amérique et l’Europe, ni les Transatlantiques français, ni les navires du « White-Star-line », ni les steamers de la Compagnie Imman, ni ceux de la ligne Hambourgeoise, ni autres, ne pouvaient servir les projets du gentleman. En effet, le Pereire, de la Compagnie transatlantique française, – dont les admirables bâtiments égalent en vitesse et surpassent en confortable tous ceux des autres lignes, sans exception, – ne partait que le surlendemain, 14 décembre. Et d’ailleurs, de même que ceux de la Compagnie hambourgeoise, il n’allait pas directement

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