Au nom de l'amour maternel Callen frappa au bureau de Helias, et sans attendre qu’il le lui autorise, il entra. C’était une chose qu’il faisait quand il savait que son frère était seul, et qu’il ne risquait pas de le déranger outre mesure. _ Oh, c’est toi ? fit le souverain en reposant un recueil de compte dans l’imposante bibliothèque. _ Oui, je reviens du palais intérieur, et nos invités sont tous bien installés. _ Et Anisha ? _ Après de longues négociations avec l’ambassadeur, elle a finalement accepté de rester un peu en compagnie de sa famille. D’ailleurs, elle compte les présenter à Dalia et à Gisèle lors du repas de ce soir. _ C’est une bonne chose… En tout cas, je te remercie de t’être occupé de tout. J’avoue qu’avec le contre-temps de ce matin, j’ai pris du retard dans le