XLVI.LA CRISE AJOURNÉE.

1355 Mots

XLVI.LA CRISE AJOURNÉE. « Prenez garde, Valéria ! me dit M me Macallan. Je ne vous adresse pas de questions, je vous avertis seulement, dans votre intérêt. Eustache a remarqué ce que j’ai remarqué moi-même… Eustache a vu le changement qui s’est fait en vous. Prenez garde ! » Ainsi me parla ma belle-mère, à une heure avancée de la journée, dans un moment où nous étions seules. J’avais fait de mon mieux pour cacher toute trace de l’effet qu’avaient produit sur moi les étranges et terribles nouvelles de Gleninch. Mais pouvais-je avoir lu ce que j’avais lu, éprouvé ce que j’avais éprouvé, et conserver ma sérénité d’aspect et de manières ? Si j’avais été la plus vile des hypocrites, je doute encore qu’il eût été possible à mon visage de garder mon secret, tandis que mon esprit était tout à la

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