L.LA FIN DE L’HISTOIRE. Dix jours après nous retournions en Angleterre, accompagnés par Benjamin. La maison de M me Macallan, à Londres, nous offrait d’amples moyens d’installation. Nous accueillîmes avec joie sa proposition d’y rester près d’elle jusqu’à la naissance de notre enfant, et nos plans d’avenir furent dressés en conséquence. Les tristes nouvelles auxquelles Benjamin m’avait préparée à Paris ne tardèrent pas à me parvenir après notre retour en Angleterre. Miserrimus Dexter avait été délivré du fardeau de la vie. La mort était venue pour lui lentement et graduellement. Peu d’heures avant de rendre le dernier soupir, la connaissance lui revint. Il reconnut Ariel, il la regarda, et l’appela par son nom. Puis, il me demanda. On pensa à m’envoyer chercher ; mais il était trop tard
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