Point de vue de Caroline Alors que nous travaillions côte à côte, je saisissais chaque occasion pour tourmenter Draven par des gestes subtils. Chaque fois que je lui tendais des documents, mes doigts effleuraient sa peau un peu trop longtemps. Je croisais les jambes délibérément, laissant ma jupe remonter le long de mes cuisses, exposant plus de peau que nécessaire. Je me penchais pour ramasser des documents, lui offrant une vue taquine de mon décolleté, la dentelle transparente de mon soutien-gorge visible à travers mon chemisier en soie. Chaque mouvement était une provocation calculée, conçue pour le rendre fou. À chaque fois que je le touchais "accidentellement", ses yeux violets brûlaient les miens avec une intensité sauvage. Ils portaient un avertissement primal, comme un loup


