XVII

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XVII Pourquoi le Duncan croisait sur la côte est de la Nouvelle-Zélande Il faut renoncer à peindre les sentiments de Glenarvan et de ses amis, quand résonnèrent à leurs oreilles les chants de la vieille Écosse. Au moment où ils mettaient le pied sur le pont du Duncan, le bag-piper, gonflant sa cornemuse, attaquait le pibroch national du clan de Malcolm, et de vigoureux hurrahs saluaient le retour du laird à son bord. Glenarvan, John Mangles, Paganel, Robert, le major lui-même, tous pleuraient et s’embrassaient. Ce fut d’abord de la joie, du délire. Le géographe était absolument fou ; il gambadait et mettait en joue avec son inséparable longue-vue, les dernières pirogues qui regagnaient la côte. Mais, à la vue de Glenarvan, de ses compagnons, les vêtements en lambeaux, les traits hâves

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