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Une Première Fois

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Blurb

Certaines personnes prétendent attendre le moment parfait ou l'homme parfait, ou que les deux personnes se disent ''je t'aime'' pour la première fois.

Pourquoi un moment parfait? si au final on finit par le regretter

Pourquoi l'homme parfait? si au final il nous délaisse comme des chiennes

Pourquoi s'échanger des ''je t'aime''?pour au final se perdre avec de fausses paroles

Pourquoi parfaire les choses si on peut les faire à notre façon??

Voilà les questions que je me poses.

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PROLOGUE
La rencontre -Arrête Ana!! on va bien s'amuser Je me pince le nez et rétorque  -sérieusement Kate je ne sens pas cette soirée Elle soupire théâtralement et répond du tac:  -tu n'as jamais sentis aucune de nos soirées de toute façon  -c'est normal mes jambes en sont toujours les victimes  -ok si ça commence à dégénérer.... On quitte immédiatement les lieux Elle continue à me supplier en joignant ses deux mains tout en faisant les yeux doux. Sachant que je cèdes toujours à ses caprices même si je me fatigues à essayer de résister, cette folle finit toujours par gagner. Elle peut être tenace quand elle s'y met. Je soupire et quitte la pièce en trainant des pieds, et je l'entends crier derrière moi -on part dans une heure -ouais c'est ça! Je bougonne ... Comme une étrangère qui a passé sa vie en hibernation, mes yeux clignotent plusieurs fois afin de m'adapter à ce lieu qui même un simple mot ne pourrait décrire tellement c'est le cliché typique des soirées américaines : gobelets rouges éparpillés par terre, des bourrés étalés comme des limasses au sol, des filles à moitié fringuées qui sortent et entrent à un défilé improvisé; le vrais bordel quoi. Après une et mille supplice de Kate, ma chére meilleure amie, j'ai fini par céder à la fête de ''l'année'' d'après ses dires, d'un certain Carter; dont le nom me dit rien du tout, mais l'étendue de sa palace me laisse penser qu'il est plein au as. Une vraie baraque de bourge, d'une grandeur en à couper le souffle, sophistiquée et simple, une semblable demeure de célébrité. Je n'ai pas le temps de mieux observer l'extérieur que Kate me tire de ma contemplation. A peine rentrer à l'intérieur, que l'envie de prendre mes jambes à mon cou me rattrape.  Qu'est ce qui m'a prit de céder à cette folle?  Ce n'est pas parce que je me vois comme une de ses coincées qui se jugent trop bien pour fréquenter ce genre de soirée; mais franchement je me vois mieux devant une série minable à me goinfrer de chocolats, plutôt que de me frotter à un inconnu ou finir complètement amnésique à la fin; Il y'a des limites voyons! L'entrée s'ouvre directement dans le salon, qui est pire que la pelouse et qui est remplie de plusieurs têtes d'inconnus qui nous compressent et bougent comme des malades. Sentant mes poumons se privaient d'air, je retire ma main de la sienne et avance jusqu'au fond pour chercher un endroit ou un issue un peu moins brouillant et respirable aussi, car franchement, mégots plus alcool, plus vomis, et plus sueur, ça ne fait pas bon ménage. Je bouscule des gens qui se déhanchent au milieu de la pièce, fais des coudes à un couple. Je m'en fous si j'en blesse un, il n'avait qu'à me laisser passer! Bon j'avoue que la plupart sont complètement à l'Ouest pour se souvenir des bonnes manières.  Enfin je trouve une petite porte au fond et m'y engouffre, elle donne sur une petite ruelle un peu éclairée, mais ça fera l'affaire. J'avance à petit pas en soufflant un bon coup; mes yeux dévient partout en essayant de voir plus clair l'environnement qui m'entoure. Mes jambes avancent doucement jusqu'à ce que j'aperçois un inconnu assis à quelque mètre, bizzare. -salut! Je souffle d'une petite voix Il tourne la tête brusquement comme s'il ne s'attendait pas à voir débarquer quelqu'un et me toise un moment avant de sortir un "salut" entre ses dents. Sympa! Son ton me montre clairement qu'il ne souhaite pas de compagnie. J'imagine que je viens de réduire ce vœu en poussière. Mais je suis déterminée à ne pas retourner à l'intérieur, alors je m'assois à une bonne distance de lui et me contente de ce silence. Aucun de nous ne fait l'effort de briser ce silence qui commence vraiment à devenir long et pesant. -pourquoi tu ne profites pas de la soirée? Surprise qu'il soit le premier à parler,  je me tourne brusquement vers lui. Et prends un moment avant de souffler -ce n'est pas trop mon truc - et c'est quoi ton truc?.... rester chez toi Je réponds spontanément vue que depuis mon arrivée je ne fais que penser à ça   -c'est mille fois mieux que de venir ici -en vrais tu es une coincée! Piquée au vif, Je lui lance un regard noir -je te demande pardon? Toujours sans me jeter un regard comme si je l'ennuyai, il répond tranquillement -tu m'as trés bien entendu -dit celui qui se réfugie ici... tu n'es pas mieux placé pour me juger -Je ne me réfugie pas -alors tu fuis?  Comme si j'avais touché la corde sensible, ses épaules se raidissent et il se braque aussitôt -ça ne te regarde pas Sa réponse me laisse sans voix, vexée je retourne dans ma bulle et l'ignore complètement cette fois ci Il n'essaie plus d'entamer une conversation et j'avoue que ça me convient très bien Une sonnerie de téléphone résonne dans la ruelle qui brise ce silence sans respect, par réflexe je regarde le mien mais c'est celui de l'inconnu. Je l'observe du coin de l'oeil souffler avec lassitude en remarquant l'appelant, et répond: -ouais...je ne suis pas loin...quoi?...ok j'arrive...bouge pas Il met aussitôt fin à l'appel, et se lève en dépoussiérant son jeans;   Lorsque mes yeux croisent sa personne le premier mot qui me vient en tête est: CANON Il mesure dans les 1,80m, et son corps est presque parfait, des fesses à couper le souffle.  Lorsque ses yeux dévient dans ma direction, un rictus amusant apparaît légèrement sur ces lèvres.  Oh zut il m'a vu!  Je pique un fard et essaie de me ressaisir en regardant partout sauf dans sa direction. Sentant sa présence près de moi, je lève doucement les yeux comme une enfant prise en flagrant délit et croise avec surprise des paires d'iris d'un vert éclatant comme une émeraude qui me fixent intensément.  Ses lèvres charnues bougent doucement et souffle un leger " Moi c'est Carter" Puis il disparaît derrière la porte. 

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