7 Quoiqu’il eût établi quelques faits que j’ignorais, le récit de la brave femme ne faisait que confirmer ma conviction que le comte et la comtesse avaient agi seuls dans l’e********t d’Anne Catherick. Mais mon but était de découvrir le secret de sir Percival et, à ce sujet, je n’en savais pas plus long. Je voulais que Mrs Cléments m’aidât à éclaircir le mystère. – Je partage bien sincèrement votre chagrin, Mrs Cléments, lui dis-je avec douceur. Vous n’auriez pas fait plus pour elle si Anne avait été votre propre enfant. – Oh ! Monsieur, je n’y ai pas grand mérite, car c’est moi qui l’ai élevée, la pauvre petite… Je n’avais qu’elle au monde… et maintenant je n’ai plus personne ! Et elle se mit à pleurer. Je laissai passer son émotion, puis lui demandai : – Connaissiez-vous Mrs Catheri