La main d'Ashton glissait lentement et précautionneusement le long de mon dos, et après quelques minutes qui semblaient en durer vingt, ma colonne vertébrale cessa enfin de vouloir s'éjecter. Détail étrange à remarquer, mais j'aimais la douceur de sa chemise. Et son odeur aussi—propre, raffinée, avec une subtile nuance boisée qui me calmait sans effort apparent. J'appréciais cela. Et je commençais même à apprécier ce câlin. Cela commençait à devenir confortable jusqu'à ce qu'Ashton ouvre la bouche."Toujours trop raide. Si tu es aussi maladroite avec moi alors qu'il n'y a personne d'autre, tu ne tromperas jamais les gens à la fête." Pardon ? Je pensais m'être déjà suffisamment détendue. Si je l'étais davantage, je serais dans le coma. Qu'est-ce qui n'allait pas avec ce câlin ? Pas a


