VII » La pensée qui une fois déjà s’était présentée à mon esprit revint de nouveau l’assiéger et ne me quitta plus. » Il n’y avait de délivrance que dans la mort. » Sa mort ou la mienne. » Cette pensée me poursuivait nuit et jour, dans la chapelle. » Je relus l’histoire de Jahel et de Sisara si souvent, que ma bible s’ouvrait d’elle-même à cette place. » Les lois de mon pays, qui auraient dû me protéger, comme toute honnête femme, me laissaient sans appui. » En l’absence de protection, je n’avais pas d’amis à qui ouvrir mon cœur. » J’étais renfermée en moi-même, et j’étais mariée à cet homme !… » Considérez-moi comme une faible créature humaine et dites-moi : n’était-ce pas une épreuve trop rude pour les forces humaines ? » J’écrivis au bon Mr Bapchild. Sans entrer dans aucune pa