Chapitre 10-3

2010 Mots

Tendant ce mot au comte, je me renversai dans mon fauteuil et fermai les yeux, éreinté. — Excusez-moi, je n’en puis plus ! Déjeunez et reposez-vous en bas. Amitiés à tous. Sympathie, etc. Bonjour ! Il débita encore tout un discours que j’écoutai le moins possible. Je fermai les yeux… Malgré moi, j’entendais beaucoup de ce que disait mon loquace beau-frère. Il nous félicitait tous deux du résultat de notre entretien, il parlait de nos goûts communs, de la façon admirable dont nous nous comprenions, il déplorait mon mauvais état de santé, s’offrait à me prescrire un remède… Il insistait afin que je n’oublie pas ses recommandations sur l’importance de la lumière… Il acceptait mon invitation à déjeuner, me disait de m’attendre à voir arriver lady Glyde deux ou trois jours plus tard, me deman

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