Elle finit, cette fois, vous le devinez sans doute, par les pressantes instances qu’il m’adressa pour que, faisant enfermer ma fille, je lui garantisse ainsi, à lui, sa sécurité que j’avais compromise. J’essayai de raccommoder les choses. Je lui dis qu’elle avait tout bonnement répété, comme une perruche, les expressions dont elle m’avait entendu me servir, et qu’elle ne connaissait aucuns détails quelconques, par la raison toute simple que je ne lui en avais jamais révélé un seul. Je lui expliquai que, dans sa rancune contre lui, elle avait feint de savoir ce qu’elle ne savait pas ; qu’elle voulait simplement le menacer et le punir, en l’inquiétant, de lui avoir parlé comme il l’avait fait ; et que mes désastreuses imprécations lui avaient tout justement fourni l’occasion d’atteindre le