Le récit est continué par mistress Catherick Monsieur, vous n’êtes pas revenu comme vous l’aviez annoncé. Cela ne fait rien ; je suis au courant des nouvelles, et je vous écris pour vous le dire. Avez-vous remarqué sur mon visage, quand vous me quittiez, une expression particulière ? C’est que je me demandais, en moi-même, si le jour de sa chute était enfin venu, et si vous étiez l’instrument providentiel, choisi pour venir à bout de lui. Vous étiez en effet cet instrument, – et vous avez accompli votre mission. Vous avez eu la faiblesse, m’a-t-on dit, de vouloir lui sauver la vie. Si vous eussiez réussi, je vous aurais regardé comme un ennemi mortel. Je vous tiens, au contraire, pour ami, du moment où vous avez échoué. La crainte que lui inspiraient vos recherches, à votre insu et contr