CHAPITRE IV Je ne saurais décrire les sensations que j’éprouvais ; je crois que le choc fut si v*****t qu’il suspendit un instant toutes mes facultés. Je ne savais certainement pas ce que je faisais quand Betteredge me rejoignit, car il me dit qu’il m’avait trouvé riant, qu’il m’avait demandé pourquoi, et que je lui avais mis la robe de nuit dans les mains en lui disant de résoudre l’énigme lui-même. Je n’ai pas le plus léger souvenir de ce qui se passa entre nous ; la première chose que je me rappelle ensuite est la plantation de pins. Betteredge se dirigea avec moi vers la maison et m’assura que nous saurions regarder la question en face, quand nous aurions pris un verre de grog. La scène change ensuite et nous sommes dans le petit parloir de Betteredge ; j’ai oublié ma résolution de n