XXVII.M. DEXTER CHEZ LUI. Je trouvai tout ce qu’il pouvait y avoir d’enfants oisifs dans le voisinage réunis autour de la carriole et exprimant dans leur langage leur stupéfaction à la vue d’Ariel, avec son paletot et son chapeau d’homme. Le poney était inquiet en entendant la rumeur de cette jeune foule. Mais Ariel, assise le fouet en main, restait magnifique de gravité, au milieu des quolibets et des rires qui éclataient autour d’elle. « Bonjour ! » lui dis-je en approchant de ta carriole. Ariel me répondit simplement : « Montez. » Puis, elle donna un coup de fouet au poney. Je me préparais à accomplir en silence mon voyage vers le faubourg septentrional de Londres. Il était évidemment inutile que j’essayasse de parler. L’expérience m’avait appris que je ne devais pas espérer enten