XXXIV.GLENINCH. Je trouvai Benjamin à l’hôtel ; il était plongé dans la lecture d’un petit journal et absorbé dans l’étude d’une des énigmes offertes aux lecteurs. Mon vieil ami était grand amateur de ces devinettes et avait gagné toutes sortes de petits prix par son habileté à arriver à la vraie solution de ces problèmes. En temps ordinaire il eût été inutile d’essayer d’attirer son attention, alors qu’il se consacrait à son plaisir favori. Mais l’intérêt qu’il prit à écouter le résultat de mon entrevue avec l’homme de loi fut plus vif que celui qu’il prenait à déchiffrer l’énigme qui était devant lui. Il plia le journal aussitôt que j’entrai et me demanda vivement : « Quelles nouvelles, Valéria… quelles nouvelles ? » En lui racontant ce qui s’était passé, il va sans dire que je respec