CHAPITRE IV.M. Munder, juge suprême.-2

2006 Parole

« Passons maintenant en revue les faits, les circonstances, les événements, continua M. Munder, les épaules bien appuyées au dossier de son fauteuil, et se rassasiant en paix du son de sa propre voix… Vous, madame, et vous, monsieur, vous sonnez à la porte de ce manoir. (Ici un regard péremptoire à l’oncle Joseph, comme pour lui dire : « Même à présent, même sur le siége du juge, il m’est impossible d’accorder que le lieu où nous sommes soit une simple maison. ») On vous laisse entrer, disons mieux, on vous reçoit. Vous, monsieur, vous affirmez que vous venez visiter le manoir (voir la maison, disiez-vous, erreur légère qu’explique votre qualité d’étranger) ; vous, madame, vous adhérez à cette explication, vous vous mettez de moitié dans cette requête… Que s’ensuit-il ?… Elle est accueilli

Lettura gratuita per i nuovi utenti
Scansiona per scaricare l'app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Scrittore
  • chap_listIndice
  • likeAGGIUNGI