Vincenzo fulminait intérieurement.
Cette effrontée osait l’appeler pour lui crier dessus, comme l’on crierai sur un malpropre.
Pire, elle se permettait d’user de menaces et de chantage.
Avait-elle perdu la raison au point d’oublier à qui elle avait à faire ?
Sa perfidie l’avait donc rendue si inconsciente et si présomptueuse ?
S’il lui était restée ne serait-ce qu’un peu de jugement, elle se serait contentée d’implorer pour son pardon.
Au lieu de reconnaître son infamie, son comportement méprisable, elle s’opposait à lui comme si elle était dans son bon droit.
Le sang de Rafael Vittorini coulait bien dans les veines de cette sournoise.
Lui qui l’avait pensé intègre et sensée, se fourvoyait.
Elle lui avait montré son véritable visage à présent.
Furieux, il se débattait encore a
