Au jour dit, mistress Clements et Anne Catherick se trouvèrent à la station. Je présidai poliment à leur départ. Je présidai de même à celui de madame Fosco, qui partit dans le même train qu’elles. Dès le soir même, ma femme rentrait à Blackwater, ayant suivi ses instructions avec l’exactitude la plus irréprochable. Elle était accompagnée de madame Rubelle, et me rapportait l’adresse à Londres de mistress Cléments. Les évènements ultérieurs prouvèrent que j’avais pris sans nécessité cette dernière précaution. Mistress Clements informa ponctuellement lady Glyde du lieu où elle avait établi sa résidence. En vue des incidents futurs que le hasard pourrait amener, je gardai sa lettre par devers moi. Le même jour, j’avais eu avec le docteur une entrevue de peu de durée, où je protestai dans le