– Vous savez sans doute, mistress Clements, pourquoi sir Percival Glyde l’y avait fait enfermer. – Je n’en sais, monsieur, que ce qu’Anne elle-même m’en a dit. La pauvre enfant, là-dessus, divaguait et déraisonnait à faire peine. Elle disait que sa mère, ayant à garder je ne sais quel secret de sir Percival, le lui avait laissé connaître un jour, longtemps après mon départ du Hampshire, et que sir Percival, découvrant qu’elle était au fait de ce mystère, l’avait aussitôt fait emprisonner. Mais quand je lui demandai de quoi il s’agissait, jamais elle ne put me le dire. Tout ce que je tiens d’elle, c’est que sa mère, si elle le voulait, pourrait ruiner sir Percival et le détruire de fond en comble. Mistress Catherick avait fort bien pu dire cela, et ne pas en dire plus long. Je suis à peu p