Songeant à ce qui est arrivé plus tard, je rends grâces à Dieu de n’avoir pas contrarié cette volonté, ni aucune autre de celles que m’exprima lady Glyde, pendant la dernière journée de son séjour à Blackwater-Park. La lettre fut écrite et me fut remise. Je la déposai moi-même au bureau de poste du village, dans le cours de cette soirée. Nous n’avions plus aperçu sir Percival, qui, le reste du jour demeura invisible. Je couchai, par ordre exprès de lady Glyde, dans la chambre voisine de la sienne, et la porte qui nous séparait demeura ouverte. La solitude et le vide du château avaient quelque chose de si singulier et de si effrayant que, pour ma part, je fus charmée d’avoir quelqu’un auprès de moi. Sa Seigneurie veilla tard, occupée à lire des lettres qu’elle brûlait ensuite, et à vider