I On me requiert d’exposer simplement ce que je puis savoir de la marche suivie par la maladie de miss Halcombe, et des circonstances dans lesquelles lady Glyde quitta naguère Blackwater-Park pour se rendre à Londres. La raison fournie pour cette demande qu’on m’adresse, est que mon témoignage devient indispensable aux intérêts de la vérité, comme veuve d’un « clergyman » de l’Église d’Angleterre (réduite par les rigueurs du sort à la nécessité d’accepter une condition subalterne), j’ai appris à placer les intérêts de la vérité au-dessus de toute autre considération. Je dois donc accueillir une requête à laquelle, sans cela (vu ma répugnance à me mêler de certaines affaires de famille, passablement affligeantes), j’aurais hésité à faire droit. Je n’ai point gardé de « memoranda » relati