Conclusion C’était à l’extrémité de la mer de Behring, sur la dernière des Aléoutiennes, l’île Blejinic, que tout le personnel du fort Espérance avait pris terre, après avoir franchi plus de dix-huit cents milles depuis la débâcle des glaces ! Des pêcheurs aléoutiens, accourus à leur secours, les accueillirent hospitalièrement. Bientôt même, le lieutenant Hobson et les siens furent mis en relation avec les agents anglais du continent, qui appartenaient à la Compagnie de la baie d’Hudson. Il est inutile de faire ressortir, après ce récit détaillé, le courage de tous ces braves gens, bien dignes de leur chef, et l’énergie qu’ils avaient montrée pendant cette longue série d’épreuves. Le cœur ne leur avait pas manqué, ni à ces hommes ni à ces femmes, auxquels la vaillante Paulina Barnett ava
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