V

1029 Words

V Telle est l’histoire que, poussé par la nécessité, votre cousin raconta à M. Luker. M. Luker la tint pour vraie et d’autant plus facilement que, selon lui, M. Godfrey était trop sot pour l’avoir inventée. M. Bruff et moi tombâmes d’accord que cette raison avait son prix. Il s’agissait maintenant de savoir ce que M. Luker allait décider par rapport au diamant. Il proposa les conditions suivantes comme les seules moyennant lesquelles il consentirait à se mêler de ce qui, même dans son milieu d’affaires véreuses, lui paraissait une entreprise pleine de risques et de périls. M. Luker prêterait à M. Ablewhite la somme de deux mille livres, à la condition que la Pierre de Lune lui serait remise en gage. Si dans un délai d’un an, M. Ablewhite payait à M. Luker la somme de trois mille livres

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